Gepubliceerd op 17mei bij Mo - België wil via “ontwikkelingssamenwerking”* de strijd tegen voedselonzekerheid en de klimaatcrisis aangaan. Dat doet ze onder meer via de Belgische Investeringsmaatschappij voor Ontwikkeling (BIO). 11.11.11 en de Coalitie Tegen de Honger hebben echter vragen bij de werking en de filosofie van BIO. ‘We vragen een democratisch debat over BIO zodat het de mensenrechten respecteert en in samenhang met de rest van de Belgische “ontwikkelingssamenwerkingsactoren” handelt.’
Publiée le 12/05/2022 dans Le Vif - L’express - Parmi ses outils, la coopération au développement belge peut compter sur BIO, une institution financière publique de développement dont l’ambition est “de soutenir la croissance dans les pays du Sud tout en contribuant aux Objectifs de développement durable”. Une nouvelle étude commanditée par le CNCD-11.11.11, son homologue flamand 11.11.11 et la Coalition contre la faim vient de paraître en vue d’analyser l’impact de BIO dans le domaine de la lutte contre l’insécurité alimentaire et le réchauffement climatique. Conclusion : BIO échoue à remplir sa mission d’appui au développement et spécule sur l’avenir des populations du Sud.
La société suisse Addax Bioenergy and Oryx group (AOG) a investi 500 millions d’euros dans le projet Makeni, mené en République de Sierra Leone par Addax Bioenergy Sierra Leone Ltd (ABSL). En partie alimentée par les fonds d’AOG et subventionnée par sept institutions de financement du développement (IFD) africaines et européennes, cette initiative se compose de plantations de canne à sucre, d’une raffinerie d’éthanol et d’une centrale biomasse. [1]
Terwijl in de VN Mensenrechtenraad wordt onderhandeld over een toekomstig bindend verdrag over bedrijven en mensenrechten (oktober 2021), roepen getroffen gemeenschappen en maatschappelijke organisaties de lidstaten op om actie te ondernemen om schendingen van gemeenschaps- en mensenrechten door multinationale ondernemingen over de hele wereld aan te pakken. Dit is het geval met de gemeenschappen die worden getroffen door het Belgische bedrijf SIAT en die zich verzetten tegen grootschalige rubber- en oliepalmplantages in Ghana, Nigeria en Ivoorkust. Deze korte video geeft een stem aan vertegenwoordigers van de gemeenschap in Prikro, Ivoorkust.
Alors qu’un futur Traité contraignant sur les entreprises et les droits humains est en négociation au Conseil des droits de l’homme (octobre 2021), des communautés affectées et les organisations de la société civile appellent les États à y participer et à agir face aux violations des droits des communautés par des multinationales de par le monde. C’est le cas des communautés affectées par l’entreprise belge SIAT, qui s’opposent aux plantations à large échelle d’hévéa et de palmiers à huile au Ghana, au Nigeria et en Côte d’Ivoire. Cette courte vidéo donne la parole aux représentants des communautés de Prikro, en Côte d’Ivoire
Un nouveau rapport publié par Pain pour le prochain, Alliance Sud et par le Réseau allemand pour la justice fiscale sur la stratégie fiscale du groupe agroalimentaire SOCFIN révèle comment les multinationales peuvent transférer leurs bénéfices des pays d’Afrique et d’Asie où sont produites les matières premières vers des paradis fiscaux tels que la Suisse. Les stratégies appliquées par ces groupes sont iniques, même si elles peuvent être conformes aux règles de l’OCDE. Ces pratiques de l’optimisation fiscale agressive équivalent à l’expatriation de bénéfices au détriment de la population des pays de production.
A new report by Bread for all, Alliance Sud and the German Network for Tax Justice on the tax strategy of agribusiness corporation Socfin reveals how multinational companies can shift profits from countries where they produce commodities in Africa and Asia to tax havens like Switzerland. These strategies are highly unjust, even if they may comply with OECD rules. Tax avoidance of this nature is tantamount to extracting profits at the expense of people in the countries of production.