Nous sommes plusieurs associations et collectifs à nous mobiliser pour faire bouger les lignes à diverses échelles et à nous interroger sur l’efficacité de nos approches pour faire advenir un monde juste et vivant. Comment s’organiser, fédérer et agir pour peser dans la balance et changer le système ? Rejoignez nous le jeudi 8, pour parler de Community organizing en milieu rural avec Adrien Roux, de l’alliance citoyenne à Grenoble, et plus particulièrement d’éco-syndicats de riverains mobilisés contre les pollutions agro-toxiques sur leurs territoires.
Colruyt met en place de grands projets fonciers d’acquisition de terres agricoles, afin de faire produire les agriculteurs et agricultrices pour ses propres besoins et demandes. Alors même que l’on parle de plus en plus d’agriculture familiale et de souveraineté des cultivateurs et cultivatrices sur les territoires, les terres cultivables restent convoitées par le secteur de l’industrie alimentaire. Des témoignages recueillis lors de la mobilisation organisée à Halle à l’occasion de la journée des luttes paysannes le 15 avril 2022 contre les acquisitions déséquilibrées de terre par la chaine de supermarchés belge Colruyt.
Publiée le 12/05/2022 dans Le Vif - L’express - Parmi ses outils, la coopération au développement belge peut compter sur BIO, une institution financière publique de développement dont l’ambition est “de soutenir la croissance dans les pays du Sud tout en contribuant aux Objectifs de développement durable”.
Une nouvelle étude commanditée par le CNCD-11.11.11, son homologue flamand 11.11.11 et la Coalition contre la faim vient de paraître en vue d’analyser l’impact de BIO dans le domaine de la lutte contre l’insécurité alimentaire et le réchauffement climatique. Conclusion : BIO échoue à remplir sa mission d’appui au développement et spécule sur l’avenir des populations du Sud.