Le week-end BAP est un week-end d’inspiration, de formation et de co-construction. C’est aussi un moment de rencontres privilégié entre (futur.e.s) brigadistes. Vous souhaitez découvrir et supporter l’agriculture paysanne ? Vous voulez vous impliquer dans le mouvement pour la souveraineté alimentaire et agir pour la transition agroécologique ? Envie de mettre les mains dans la terre et de se mobiliser pour le droit à l’alimentation ? Pour qui ? Comment ? Le programme des activités ? Rendez-vous sur le site des BAP et venez nombreux à notre week-end de Formation !
Cette année, nous serons présent.e.s du 28 au 31 juillet au festival Esperanzah pour contribuer à la campagne "Occupons le Terrain" ! RDV au sein du Village des Possibles, sur les stands des Brigades d’Actions Paysannes et d’Occupons le Terrain, et à l’Espace "Tout Va Bien" pour le débat du vendredi soir ! Au plaisir de vous y voir !
Publiée le 12/05/2022 dans Le Vif - L’express - Parmi ses outils, la coopération au développement belge peut compter sur BIO, une institution financière publique de développement dont l’ambition est “de soutenir la croissance dans les pays du Sud tout en contribuant aux Objectifs de développement durable”.
Une nouvelle étude commanditée par le CNCD-11.11.11, son homologue flamand 11.11.11 et la Coalition contre la faim vient de paraître en vue d’analyser l’impact de BIO dans le domaine de la lutte contre l’insécurité alimentaire et le réchauffement climatique. Conclusion : BIO échoue à remplir sa mission d’appui au développement et spécule sur l’avenir des populations du Sud.
La société suisse Addax Bioenergy and Oryx group (AOG) a investi 500 millions d’euros dans le projet Makeni, mené en République de Sierra Leone par Addax Bioenergy Sierra Leone Ltd (ABSL). En partie alimentée par les fonds d’AOG et subventionnée par sept institutions de financement du développement (IFD) africaines et européennes, cette initiative se compose de plantations de canne à sucre, d’une raffinerie d’éthanol et d’une centrale biomasse. [1]
Alors qu’un futur Traité contraignant sur les entreprises et les droits humains est en négociation au Conseil des droits de l’homme (octobre 2021), des communautés affectées et les organisations de la société civile appellent les États à y participer et à agir face aux violations des droits des communautés par des multinationales de par le monde. C’est le cas des communautés affectées par l’entreprise belge SIAT, qui s’opposent aux plantations à large échelle d’hévéa et de palmiers à huile au Ghana, au Nigeria et en Côte d’Ivoire. Cette courte vidéo donne la parole aux représentants des communautés de Prikro, en Côte d’Ivoire