Les Directives volontaires sur les systèmes alimentaires et la nutrition ont été adoptées le 10 février dernier [1], clôturant un processus entamé en 2016 par le Comité de la Sécurité Alimentaire Mondiale (CSA) dans le cadre de la mise en oeuvre du Cadre Stratégique Mondial (CSM) pour la sécurité alimentaire et la nutrition [2]. Ces directives sont le fruit de trois rondes de négociations, qui ont eu lieu entre septembre 2020 et janvier 2021.
De Vrijwillige Richtsnoeren over Voedselsystemen en Voeding werden op 10 februari goedgekeurd [1], waarmee een proces werd afgesloten dat in 2016 door het Comité voor Wereldvoedselzekerheid (CFS) was gestart, als onderdeel van de uitvoering van het Mondiaal Strategisch Kader (GSF) voor Voedselzekerheid en Voeding [2]. Deze richtsnoeren zijn het resultaat van drie onderhandelingsrondes, die plaatsvonden tussen september 2020 en januari 2021.
Du 17 au 20 février 2020, la Belgique passait son cinquième examen périodique devant le Comité des droits économiques, sociaux et culturels de l’ONU (Comité DESC) à Genève. À cette occasion, les organisations de la société civile ont l’occasion de présenter des rapports parallèles pour mettre en évidence les principaux problèmes et manquements des États. FIAN a saisi cette occasion pour pointer les problèmes au regard du droit à l’alimentation et à la nutrition en Belgique [1]. Cet article fait une synthèse des principaux constats.
L’autrice, militante pour des systèmes alimentaires justes au sein du réseau URGENCI, nous raconte le processus actuellement en cours pour l’élaboration de Directives volontaires sur les systèmes alimentaires au sein du Comité de la sécurité alimentaire. Elle y dénonce également la médicalisation de la faim et les tentatives de « corporate capture » [1] par l’agro-industrie.