Accaparement de terres, perte de biodiversité, insécurité alimentaire, déplacements forcés, violences, homicides.. les représentant.e.s des communautés lésées par les filiales de l’entreprise belge SIAT au Ghana, en Côte d’Ivoire et au Nigéria revendiquent leurs droits d’accès à la terre et à pratiquer l’agriculture paysanne.
Venez les rencontrer ce lundi 20 juin à Namur !
Versailles, le 9 juin 2022 - Le combat judiciaire engagé par les associations afin d’obliger la société Bolloré à remédier aux violations de droits humains dénoncées dans le cadre des activités de la filiale camerounaise Socapalm se poursuit. Les juges d’appel tranchent de nouveau en faveur des associations ; un pas de plus pour les victimes.
Tien jaar na de studie van de Vlaamse koepel 11.11.11 "Ondernemen tegen armoede?" over de Belgische Investeringsmaatschappij voor Ontwikkelingslanden (BIO), publiceren 11.11.11/CNCD en de Coalitie tegen de Honger een nieuwe studie. Deze studie maakt de balans op van de hervormingen die binnen deze financiële instelling werden doorgevoerd en evalueert de impact ervan op het vlak van klimaat en landbouw. Enkele maanden voor de vernieuwing van het beheerscontract willen we via deze studie en de begeleidende beleidsnota’s het debat (her)openen.
Lees hier de samenvatting van het nieuwe rapport (in het Engels)
Ce matin à Bruxelles, 50 activistes du collectif Anti-FFA ont perturbé l’ouverture du Forum pour le futur de l’agriculture (FFA), un événement de l’industrie chimique et agroalimentaire. Ils se sont attachés devant l’entrée du centre de conférence et se sont couverts d’une substance verdâtre. D’autres ont organisé un die-in arrosé de faux pesticides et une grande bannière "Welcome to Lobbyland".
Actifs depuis des années pour exiger la régulation des entreprises, FIAN participe avec 11.11.11 et CNCD-11.11.11 la campagne nationale 2022 "Les droits humains n’ont pas de prix" dont voici un petit teaser avant son lancement national, prévu en avril. L’occasion de rappeler le cours actuel de ce long combat de la société civile pour un traité de régulation contraignant les entreprises au niveau international.
Nous, les organisations signataires, membres de plusieurs mouvements dont l’Alliance pour le Traité (Treaty Alliance), une large plateforme d’organisations de la société civile et de mouvements sociaux défendant l’adoption d’un traité international des droits humains sur les sociétés transnationales (STN) et autres entreprises commerciales (OBE), appelons les États membres de l’ONU à participer activement à la 7ème session de négociations en apportant des suggestions textuelles concrètes pour renforcer le texte du traité afin de mieux protéger les droits humains des communautés et des personnes affectées par les opérations des STN et des OBE ainsi que leur accès à un recours effectif, et de mettre fin à l’impunité des entreprises responsables de violations des droits humains.
Deze week – van 25 tot 19 oktober – vindt de 7e onderhandelingssessie plaats van de intergouvernementele werkgroep die werkt aan een bindend VN-verdrag inzake transnationale en andere ondernemingen en hun impact op de mensenrechten (OEIGWG). De verschillende staten zullen onderhandelen over een derde herziene ontwerptekst. De Treaty Alliance, een breed platform van sociale bewegingen en middenveldorganisaties, waaronder FIAN, publiceerde een verklaring
ter ondersteuning van de totstandkoming van een bindend verdrag.
Terwijl in de VN Mensenrechtenraad wordt onderhandeld over een toekomstig bindend verdrag over bedrijven en mensenrechten (oktober 2021), roepen getroffen gemeenschappen en maatschappelijke organisaties de lidstaten op om actie te ondernemen om schendingen van gemeenschaps- en mensenrechten door multinationale ondernemingen over de hele wereld aan te pakken. Dit is het geval met de gemeenschappen die worden getroffen door het Belgische bedrijf SIAT en die zich verzetten tegen grootschalige rubber- en oliepalmplantages in Ghana, Nigeria en Ivoorkust. Deze korte video geeft een stem aan vertegenwoordigers van de gemeenschap in Prikro, Ivoorkust.
Les sociétés transnationales jouissent généralement de l’impunité en matière de responsabilité et de poursuites pour les violations des droits de l’humain dans les pays en développement, souvent liées à l’accaparement des terres et à la pollution de l’environnement. Les États qui entament ce lundi à Genève des négociations sur un traité contraignant de l’ONU doivent saisir l’occasion de les tenir pour responsables.