Le cas de la filiale de SIAT en Côte d’Ivoire
Des communautés ivoiriennes, nigérianes et ghanéennes accusent la SIAT d’accaparement de terres, d’atteintes à leurs droits et à ceux de ses travailleurs et travailleuses, de dégradation de l’environnement et de menace à la souveraineté alimentaire des populations autochtones et des communautés locales dont la survie dépend de la terre.
Cette note politique fait partie d’une série de 4 analyses de cas spécifiques d’accaparement de terres destinés à inscrire la bonne gouvernance foncière, les questions liées aux droits fonciers et la prévention des conflits portant sur des ressources au programme des dirigeants politiques européens et africains.
Téléchargez les analyses de cas :
Pour une réforme de l’institution financière belge de développement (BIO).
Publiée le 12/05/2022 dans Le Vif - L’express - Parmi ses outils, la coopération au développement belge peut compter sur BIO, une institution financière publique de développement dont l’ambition est “de soutenir la croissance dans les pays du Sud tout en contribuant aux Objectifs de développement durable”. Une nouvelle étude commanditée par le CNCD-11.11.11, son homologue flamand 11.11.11 et la Coalition contre la faim vient de paraître en vue d’analyser l’impact de BIO dans le domaine de la lutte contre l’insécurité alimentaire et le réchauffement climatique. Conclusion : BIO échoue à remplir sa mission d’appui au développement et spécule sur l’avenir des populations du Sud.
Dossier politique : BIO en tant qu’acteur de la coopération au développement
Dix ans après l’étude de la coupole flamande 11.11.11 « Doing business with poverty » , une nouvelle étude sur l’institution financière de développement BIO vient de paraître afin de faire le point sur les réformes entreprises au sein de cette institution financière et d’évaluer son impact dans les domaines du climat et de l’agriculture. A quelques mois du renouvellement de son contrat de gestion, l’étude, son résumé et les policy briefs qui l’accompagnent visent à (ré-)ouvrir le débat.
Téléchargez :
Les banques de développement se retirent sans vergogne d’un accaparement colonial des terres au Congo
Le 22 février 2022, les banques de développement BIO (Belgique), CDC (Royaume-Uni), DEG (Allemagne) et FMO (Pays-Bas) ont annoncé qu’elles avaient vendu leurs dernières participations financières dans Plantation et Huileries du Congo (PHC). Cet événement fait suite au retrait similaire par l’opérateur de la banque française de développement Proparco plus tôt en 2021. L’entreprise PHC, propriétaire de plus de 100 000 ha de concessions pour des plantations de palmiers à huile en République démocratique du Congo, est minée par les scandales.
Le cas de Addax Bioenergy en Sierra Leone
La société suisse Addax Bioenergy and Oryx group (AOG) a investi 500 millions d’euros dans le projet Makeni, mené en République de Sierra Leone par Addax Bioenergy Sierra Leone Ltd (ABSL). En partie alimentée par les fonds d’AOG et subventionnée par sept institutions de financement du développement (IFD) africaines et européennes, cette initiative se compose de plantations de canne à sucre, d’une raffinerie d’éthanol et d’une centrale biomasse. [1]
Finance In Common 2021 : Les banques publiques de développement doivent arrêter de financer l’agrobusiness
Un sommet mondial réunissant plus de 450 banques publiques de développement (BPD) s’est réunit les 19 et 20 octobre à Rome pour discuter du rôle de ces puissantes institutions financières dans l’agriculture et l’agrobusiness et pour « agir dans la transformation des systèmes alimentaires ». Ce sommet suit de prèsle Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires, présenté à l’origine comme un forum destiné à lutter contre la faim dans le monde, mais détourné par les intérêts des entreprises et utilisé pour présenter de fausses solutions privées motivées uniquement par le profit.
Coopération belge en RDC : un cadeau de plusieurs millions à Feronia
23 avril 2021 - EN RDC, le “dossier Feronia” comprend tout ce que la coopération belge ne devrait pas faire. D’abord, financer une multinationale qui utilise des terres spoliées aux communautés locales. Ensuite, ne pas réclamer le remboursement de plusieurs millions provenant des contribuables belges. Enfin, ne pas réagir à une répression qui, une fois encore, vient de semer la mort.
Cet article a été publié en accès libre dans la section "Regards" de Tchak !
événements pour recherche "feronia"
Evénements passés
Evénement en ligne
Agro-Colonialisme ou Développement ?
Luttes soutenues par FIAN
mardi 9 mars 2021
12h30
En ligne https://fb.me/e/2ehRknnKb}}
Le cas Feronia-PHC KKM en RDC. Événement en ligne co-organisé par FIAN Belgium et Entraide & Fraternités
Accessible gratuitement (avec ou sans compte Facebook) via le lien suivant : https://fb.me/e/2ehRknnKb
Lunch Info : Le cas FERONIA, un accaparement de terre financé par la coopération belge
mardi 18 juin 2019
12h00
CNCD-11.11.11
9 Quai du Commerce, 1000 Bruxelles, Belgique
Invitation lunch
Lunch
confrontée à des conflits fonciers et un scandale financier
mardi 20 décembre 2016
12h30
SOS Faim
4 rue aux Laines
1000 Bruxelles
Témoignage d’Anto Bakelazi Lionza, représentante de la société civile congolaise
Événement gratuit sur inscription : vpi@sosfaim.org
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mardi 18 juin 2019 12h00
CNCD-11.11.119 Quai du Commerce, 1000 Bruxelles, Belgique
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mardi 20 décembre 2016 12h30
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Témoignage d’Anto Bakelazi Lionza, représentante de la société civile congolaise
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