Et si le progrès, c’était plus de mieux, et moins de trop ? Sous le titre "l’écologie peut-elle être populaire ?" le dernier numéro de la Revue En Question propose une réflexion innovante : réduire les inégalités tout en diminuant l’exploitation des ressources naturelles.

La démocratie alimentaire ce serait d’abord que tout le monde ait des revenus suffisants et des opportunités suffisantes pour faire des choix

Loin de la logique néolibérale, cette approche vise à repenser notre consommation pour favoriser un partage plus équitable et durable des ressources. Par exemple, en mangeant moins d’aliments ultra-transformés, on soutient moins l’agroindustrie, on utilise moins de ressources, et on améliore la santé publique, tout en produisant des aliments plus sains et durables.

Le mythe est que nous sommes dans une société d’abondance, apportant en suffisance une alimentation à l’ensemble de la population, qui n’a qu’à choisir. La réalité est que le prix faussé des produits alimentaires rendent les gens malades, pendant que les mesures politiques protectrices sont bloquées par les multinationales.([Introduction de l’axe "Démocratie alimentaire" sur le site du CreaSSA

Intrigué·e ? Découvrez comment ce concept peut transformer notre société notamment à travers l’article "L’alimentation durable pour combattre l’exclusion ?"

Et pour vous procurer la revue c’est par ici Bonne lecture !